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Au-pays-de-Marilyn

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The Cure Charlotte Sometimes (Splintered in Her Head)

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Création : 01/05/2013 à 08:22 Mise à jour : 05/12/2022 à 21:45

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Il faut regarder toute la vie avec des yeux d'enfants . . .
" Henri Matisse "


Il faut regarder toute la vie avec des yeux d'enfants . . . " Henri Matisse "

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Tags : Marilyn Monroe
​ 19 | 9
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#Posté le dimanche 26 mars 2017 18:54

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michael-and-marilyn, Posté le jeudi 14 décembre 2017 16:42

Merveilleuse Marilyn


MandyForever, Posté le dimanche 14 mai 2017 00:40

Petit passage Christine¸¸.✿
En douceur,¸¸.✿
Pour te souhaiter,¸¸.✿
Un agréable dimanche,¸¸.✿
Remplie de chaleur et de câlin,¸¸.✿
Gros bisous,¸¸.✿ (l)

✿*•.¸¸.Sandrine,¸


Humour-O, Posté le jeudi 27 avril 2017 23:19

Bonjour mon @mie,

C'est avec un grand plaisir
Que je survole ton très joli blog
Pour y déposer ces quelques mots
Afin de te souhaiter une bonne journée

ƸӜƷ•°*””*°•.ƸӜƷ•°*””*°•.ƸӜƷ•
(¯`´♥.¸____ღ☆ღ___ ¸.♥´´¯)
☆ ☆ 28 ♥ Avril 2017 ☆
(_¸.♥´´ ¯¯¯¯ღ☆ღ¯¯¯ `´♥.¸_)
ƸӜƷ•°*””*°•.ƸӜƷ•°*””*°•.ƸӜƷ•


yanchel, Posté le vendredi 31 mars 2017 15:12

LA NUIT

L’étang comme une plaque d’argent éteint,
S’allonge dans l’écran vert du jour finissant
Les bruits deviennent assourdis ,légers, fiévreux,
Le monde de la forêt s’endort,
Laissant place aux chuchotements,
Aux frémissements de l’eau laissé par un poisson
Qui se tortille d’aise
Sous une brise légère.
D’une feuille de nénuphar, une grenouille verte ;
D’un flac ! Se laisse glisser dans l’eau qui scintille
Les croha…croha et les bou.oue.. oue des crapauds
Laissent venir la nuit.
La lune alors, entre deux nuages,
Anime le paysage
De ses deux yeux rêveurs, et son sourire triste bien mystérieux ;
Alentour les troncs élancés des arbres,
S’enfoncent dans l’ombre ouatée
Quelques légers pépiements d’oiseaux
Regagnant leurs nids douillets
Animent ces instants où le ciel et la terre
Dans les bras l’un de l‘autre
Pensent à l’éternité.

Voila je te laisse avec se jolie poème Christine
En te souhaitant une agréable soirée et nuit bisous
___________________________________________@lain


Humour-O, Posté le jeudi 30 mars 2017 01:04

… . . . :D . . . …


yanchel, Posté le mercredi 29 mars 2017 13:04

Bonne soirée, gros bisous
______________________@lain


MandyForever, Posté le mardi 28 mars 2017 16:08

Merci pour ton gentil et agréable message.✿
Tendres Bisous,,¸¸.✿ (l)

✿*•.¸¸.Sandrine,¸


Blog-Disney-Pixar, Posté le lundi 27 mars 2017 10:24

"magique , coloré"

Oui, je trouve les chars magnifiques. Et j'aime beaucoup la musique aussi !


acteursactrices, Posté le lundi 27 mars 2017 05:22

La Chouette

Une chouette était sur la porte clouée ;
Larve de l’ombre au toit des hommes échouée.
La nature, qui mêle une âme aux rameaux verts,
Qui remplit tout, et vit, à des degrés divers,
Dans la bête sauvage et la bête de somme,
Toujours en dialogue avec l’esprit de l’homme,
Lui donne à déchiffrer les animaux, qui sont
Ses signes, alphabet formidable et profond ;
Et, sombre, ayant pour mots l’oiseau, le ver, l’insecte,
Parle deux langues : l’une, admirable et correcte,
L’autre, obscur bégaîment. L’éléphant aux pieds lourds,
Le lion, ce grand front de l’antre, l’aigle, l’ours,
Le taureau, le cheval, le tigre au bond superbe,
Sont le langage altier et splendide, le verbe ;
Et la chauve-souris, le crapaud, le putois,
Le crabe, le hibou, le porc, sont le patois.
Or, j’étais là, pensif, bienveillant, presque tendre,
Épelant ce squelette, et tâchant de comprendre
Ce qu’entre les trois clous où son spectre pendait,
Aux vivants, aux souffrants, au b½uf triste, au baudet,
Disait, hélas ! la pauvre et sinistre chouette,
Du côté noir de l’être informe silhouette.
Elle disait :
« Sur son front sombre
Comme la brume se répand !
Il remplit tout le fond de l’ombre.
Comme sa tête morte pend !
De ses yeux coulent ses pensées.
Ses pieds troués, ses mains percées
Bleuissent à l’air glacial.
Oh ! comme il saigne dans le gouffre !
Lui qui faisait le bien, il souffre
Comme moi qui faisais le mal.
« Une lumière à son front tremble.
Et la nuit dit au vent : « Soufflons
Sur cette flamme ! » et, tous ensemble,
Les ténèbres, les aquilons,
La pluie et l’horreur, froides bouches,
Soufflent, hagards, hideux, farouches,
Et dans la tempête et le bruit
La clarté reparaît grandie… —
Tu peux éteindre un incendie,
Mais pas une auréole, ô nuit !
« Cette âme arriva sur la terre,
Qu’assombrit le soir incertain ;
Elle entra dans l’obscur mystère
Que l’ombre appelle son destin ;
Au mensonge, aux forfaits sans nombre,
À tout l’horrible essaim de l’ombre,
Elle livrait de saints combats ;
Elle volait, et ses prunelles
Semblaient deux lueurs éternelles
Qui passaient dans la nuit d’en bas.
« Elle allait parmi les ténèbres,
Poursuivant, chassant, dévorant
Les vices, ces taupes funèbres,
Le crime, ce phalène errant ;
Arrachant de leurs trous la haine,
L’orgueil, la fraude qui se traîne,
L’âpre envie, aspic du chemin,
Les vers de terre et les vipères,
Que la nuit cache dans les pierres
Et le mal dans le c½ur humain !
« Elle cherchait ces infidèles,
L’Achab, le Nemrod, le Mathan,
Que, dans son temple et sous ses ailes,
Réchauffe le faux dieu Satan,
Les vendeurs cachés sous les porches,
Le brûleur allumant ses torches
Au même feu que l’encensoir ;
Et, quand elle l’avait trouvée,
Toute la sinistre couvée
Se hérissait sous l’autel noir.
« Elle allait, délivrant les hommes
De leurs ennemis ténébreux ;
Les hommes, noirs comme nous sommes,
Prirent l’esprit luttant pour eux ;
Puis ils clouèrent, les infâmes,
L’âme qui défendait leurs âmes,
L’être dont l’½il jetait du jour ;
Et leur foule, dans sa démence,
Railla cette chouette immense
De la lumière et de l’amour !
« Race qui frappes et lapides,
Je te plains ! hommes, je vous plains !
Hélas ! je plains vos poings stupides,
D’affreux clous et de marteaux pleins !
Vous persécutez pêle-mêle
Le mal, le bien, la griffe et l’aile,
Chasseurs sans but, bourreaux sans yeux !
Vous clouez de vos mains mal sûres
Les hiboux au seuil des masures,
Et Christ sur la porte des cieux ! »


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